IL ETAIT UNE FOIS LA REVOLUTION
IL ETAIT UNE FOIS LA REVOLUTION
Film de Sergio Léone 1971
Titre original « Giu la testa- duck you Sucker ! »
Avec
Rod Steiger ( Juan Miranda)
James Coburn ( Sean Mallory)
Romolo Valli ( Docteur Villega)
Maria Monti (Adolita)
Rick Battaglia (Santerna)
Franco Graziosi (Gouverneur Don Jaime)
Antonio Domingo ( colonel Guttierez)
Goffredo pistoni (Nino)
Roy Bosier ( propriétaire terrien)
John Frederick ( l’américain)
Nino Casale ( notaire)
Jean Rougeuil ( prêtre)
Vincenzo Norvese (Pancho )
Corrado Solari ( Sébastian)
Biaco la Rocca ( Benito)
Renato Pontecchi (pepe)
Franco Collace (Napoléon)
Musique d’Ennio Morricone
Scénarios de Sergio Léone, Sergio Donati.
Durée 2 h30
Un irlandais intellectuel révolutionnaire Séan Mallory, champion des explosifs rencontre un bandit de grand chemin (Juan Miranda) . Tous les deux vont aller faire la révolution avec chacun leurs objectifs . Juan est la naîf et Sean est l’intellectuel déçu par la révolution « Qui dit révolution, dit confusion ».
C’est le second volet d’un tryptique commencé avec « Il était une fois dans l’Ouest » qui montrait l’Amérique avec la naissance des spéculateurs, du chemin de fer et la chute d’un monde viril.Le deuxième volet est la révolution en toile de fond. Le troisième sera « Il était une fois l’Amérique » au tant des gangsters qui se trouvent remplacés par les hommes politiques.
.Le film n’est pas construit comme « Il était une fois dans l’Ouest » qui était un puzzle .
Toutefois, il y un film dans le film par un flash back sur la vie de l’irlandais.
Dans ce film , on retrouve le premier plan grossi à l’extrème ( jet d’urine sur fourmis rouges), des scènes dures( viol et femme jetée dans une fosse à purins), la saleté, les mouches, la religion ( souvent des références à Dieu et Steiger porte une croix en sautoir)…
On y retrouve la théâtralisation des effets :petite musique de nuit, entrée à l’italienne des personnages,ralenti des images…
Pour la scène de l’exécution,il s’est inspiré de Goya.
Léone disait des acteurs « Steiger, au début du film voulait jouer comme un Zapata, il a fallu le recadrer »
« Coburn, c’est le professionnalisme. Vous lui dîtes de faire cela, il dit « oui » et il le fait »
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article