LES CHARMES DE L'ETE
de Robert Mazoyer,
avec
Marina Vlady (Pauline Fooreze), Paul Guers (Vincent Mesmin), William Coryn (Jean-Philippe Mesmin), Marie-Laure Beneston (Sophie), Georgette Eyraud (Mme Evrard), René Gaingard (Mr Evrard), Fernand Guiot (Antoine Ferry), Reine Mazoyer (Mme Beraut), Albert Michel (Lucien), Jean Moreau (Mr Beraut), Claudia Morin (Thérèse Valquier), Jean-Pierre Moulin (Daniel Ackelman), Denise Peronne (Mme Ferry), Andrée Tainsy (Gabriella), François Timmerman (Richard).
Dans le petit village du Chambon sur Lignon, les vacances d’été commencent pour Jean-Philippe, adolescent de seize ans, dans la belle propriété de son père Vincent Mesmin. Entre les fidèles domestiques Gabrielle et Lucien, et sa camarade du village Sophie qui en pince en vain pour lui, il se languit quand il est interpellé par une belle et mystérieuse femme qui rode autour de la maison. Tout en cherchant à en savoir plus sur cette inconnue dont il tombe sous le charme, aidé par Sophie, il fini par découvrir son identité, Pauline, et de sa fille la jolie Béatrice. Pas si inconnue pour les proches de Jean-Philippe, qui rehausse intérêt d’en savoir encore plus. Parallèlement, l’adolescent cherche à connaitre sa mère qu’il n’a pas connu, sujet qui semble tabou. Un père pris par son travail, objet par ses voisins et amis qui cherchent à lui présenter la belle Thérèse.
Tout va mal pour Jean-Philippe : Pauline va épouser un certain Richard à l'automne; Sophie, qui le trouve indifférent et ingrat, lui fait la tête. Enfin, il est mécontent d'avoir glissé ta photo de Pauline dans le livre de son père. Un jour, celui-ci aperçoit Pauline et essaie en vain de la rattraper. Alors, il raconte à Jean-Philippe leur histoire.
Jean-Philippe a organisé une rencontre impromptue entre son père et Pauline. Durant ces jours, un sentiment nouveau est apparu en lui : l'amour, l'amour pour Béatrice. Mais Béatrice est frivole et au cours d'une partie de chasse, Jean-Philippe découvre la jeune fille dans les bras d'un autre garçon. Il se sent très désemparé, très malheureux. Béatrice, elle, est confuse de son attitude. En s'enfuyant, elle tombe et son fusil reste accroché à une branche : un coup de feu éclate et blesse grièvement le chien de Jean-Philippe.